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Stéphane Abraham et Thomas Brunet, élèves de 1ère ES 1

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mardi 3 janvier 2012

II/ Ces réseaux constituent-ils un réel danger ? B) Des entreprises menacées

II/ Ces réseaux constituent-ils un réel danger ? 
B) Des entreprises menacées


Implanter un réseau social d’entreprise comporte certains risques : 
- Pour les employés
- Pour les PME

Pour les employés, le risque de non-respect de la vie privée est possible car des d'informations personnelles peuvent être utilisées par l'employeur.
La possibilité de perte de confidentialité dans les échanges informatiques malgré les mesures de sécurité qui sont mises en place par les entreprises comme par exemple, l'adoption de chartes pour garantir cette dernière.
Le risque de contournement institutionnel :  dans le contexte d’une révolution copernicienne, les utilisateurs de réseaux sociaux d’entreprise pourraient avoir la tentation d’outrepasser leurs droits, ils pourraient par exemple, mieux identifier les futurs talents dans le cadre d’une mobilité interne.
Et enfin, la fracture numérique, courante dans les grandes entreprises car si le réseau social ne s’adresse qu’uniquement aux geeks ou à la future génération, le reste de la population risque d'être mis a l'écart.
C'est pourquoi, pour permettre la démocratisation de ces nouveaux instruments dans toutes les tranches d’âges, il est nécessaire de mettre en place des focus groupe en amont du déploiement de l’outil afin d’écouter les craintes et les attentes, mais aussi d’imaginer les leviers qui vont permettre de faciliter l’adoption des usages.
Il y a de nombreux risques à l’utilisation des réseaux sociaux dans les PME et les grandes entreprises.  
Selon 75% des administrateurs de sécurité informatique, les réseaux sociaux sont une menace pour les entreprises.
D’après une étude réalisée par ponemon institute : cabinet spécialisé dans la gestion de la protection des données, les principaux dangers sont : les virus, la baisse de productivité, perte de données, installation de logiciel malveillants et baisse de la bande passante. C’est ainsi que les entreprises cherchent à sensibiliser les salariés sur le comportement  à risque d'utilisateurs, véritable danger pour l’entreprise.
D’après une étude, 52% des personnes interrogées considèrent qu'ils ne tiennent pas compte des risques informatiques lors de leurs échanges professionnels, par exemple : le téléchargement d’application, ouverture de liens…
D’après cette enquête, les réseaux sociaux de partage de fichier ou d’information du type : Facebook, Twitter, Skype, You tube…  sont devenus de plus en plus populaires et des cibles privilégiées pour les pirates informatiques :
  •       Les attaques de malwares : (malwares : logiciel malveillant dans le but de nuire à un système informatique ex : les virus, les vers, les chevaux de Troie.).
  •             Les tentatives de phishing ou hameçonnage en vue d’installer des logiciels malveillants au sein de   l’entreprise.
  •            La perte de données sensibles du fait d’employés mal renseignés sur les politiques de sécurité.
  •            Le risque d’une dégradation de l’image de l’entreprise par le détournement de comptes existants ou la création de faux comptes.
  •            La baisse de productivité.
  •            Le ralentissement des systèmes informatiques.(téléchargement de vidéos et photos ralentissent le système informatique)  
  •             L’impossibilité de contrôler l’accès des réseaux sociaux.
Les entreprises évoquent les craintes et les risques liés à la productivité ainsi qu'à la divulgation d’informations confidentielles.
Facebook est accusé de faire perdre 260 millions de dollars par jour aux sociétés anglaises.
En effet, une étude du site d’emploi britannique MyJobGroup sur leurs consultations en entreprise, laisse entendre que 2 millions de personnes passent plus d'une heure par jour sur les réseaux sociaux au travail.
Sur 1000 sondés, 60% indiquent accéder a un réseau social au travail, dont 8% environ une heure par jour.
Ces employés jugent à 14% que leur productivité baisse, en revanche, 70% veulent tout de même pouvoir y accéder durant leur journée de travail.
Cette étude avance des pertes de 17 milliards d’euros globales pour les entreprises.
C'est pourquoi, les employeurs, redoutant l'addiction de leurs employés aux réseaux sociaux mettent en place des systèmes de surveillance. 


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