II/ Ces réseaux constituent-ils un réel danger ?
A) Un danger pour les individus
Il y a aussi de nombreux dangers avec l’utilisation des réseaux sociaux tel que Facebook, twitter :
- Risque de rentrer en contact avec un prédateur sexuel
- Risque de harcèlement, Cyber-intimidation,
- Usurpation d'identité
- Cyber-dépendance
- Tentative d'hackage de comptes
- Risque pour le recrutement
Une étude réalisée par la commission européenne auprès de 25000 jeunes de 25 pays, annonce que 40% des 9-12 ans et 77% des 13-16 ans ont un profil sur les réseaux sociaux malgré l'âge légal d'inscription qui est de 13 ans. Nous savons que près d'un quart de ces jeunes ont un profil "public" et que un cinquième y annonce son adresse et son numéro de téléphone. Un réel danger est a craindre car les prédateurs sexuels rodent sur ces réseaux sociaux à la recherche d'enfants.
D'après les statistiques du ministère de la justice en France, on constate qu’une quinzaine d’enfants sont victimes de violences sexuelles de la part d’un pédophile après l’avoir rencontré sur internet.
Certaines personnes utilisent les réseaux sociaux pour envoyer des injures ou des menaces, leur envoyer des photos obscènes ou choquantes, inventer des rumeurs, créer un groupe spécifique pour prendre un autre enfant pour cible.
En se consacrant aux pratiques du chat, aux forums, aux blogs, et à la webcam de plus en plus tôt, ils n’ont pas la maturité suffisante pour déceler les dangers. Selon la ligne d’assistance Netecoute, dédiée aux jeunes, il n’y aurait pas moins d’un quart des enfants de 8-12ans qui sachent déjouer les sécurités des réseaux sociaux (par exemple les restrictions d’âge). C'est ainsi qu’aux Etats-Unis une mère de famille a été inculpée après le suicide d’une adolescente avec laquelle elle dialoguait sur MySpace pour s’être fait passer pour un jeune homme de 16 ans.
Le vol d’identité est aussi un danger à différents degrés :
- Le premier degré avec le détournement de photos récupérées pour être modifiées à l’insu du propriétaire
- Le second degré avec le vol pur et simple d’identité, en créant un profil au nom de cette personne.
En 2006 une femme a été condamnée à payer 10000 euros d'amende pour avoir usurpé l’identité de sa collègue de bureau sur le site de rencontre en ligne Meetic .
Le danger le plus fréquent : y passer trop de temps devant. Comme les jeux vidéo, les réseaux sociaux peuvent être chronophages. En effet, les réseaux sociaux peuvent nuire à une bonne scolarité car selon une étude, 52% des enfants de 13 à 17 ans avouent aller sur Facebook pendant qu’ils font leurs devoirs. D’après une étude dans notre classe de 1re ES1 sur 35 élèves, 24 élèves étaient inscrits sur un réseau social vers leurs douzième anniversaire. Et seulement 3 élèves n’avaient pas de réseau social ou n’y allaient jamais. Ils y consacrent 1 heure par jour en semaine et 2 a 3 heures en week-end.
L’aptitude de concentration diminue, la cyberdépendance appelée aussi cyberaddiction serait un trouble psychologique entrainant un besoin irrésistible et obsessionnel d’utiliser internet avec des effets négatifs et destructeurs sur l'utilisateur.
- Risque de rentrer en contact avec un prédateur sexuel
- Risque de harcèlement, Cyber-intimidation,
- Usurpation d'identité
- Cyber-dépendance
- Tentative d'hackage de comptes
- Risque pour le recrutement
Une étude réalisée par la commission européenne auprès de 25000 jeunes de 25 pays, annonce que 40% des 9-12 ans et 77% des 13-16 ans ont un profil sur les réseaux sociaux malgré l'âge légal d'inscription qui est de 13 ans. Nous savons que près d'un quart de ces jeunes ont un profil "public" et que un cinquième y annonce son adresse et son numéro de téléphone. Un réel danger est a craindre car les prédateurs sexuels rodent sur ces réseaux sociaux à la recherche d'enfants.
D'après les statistiques du ministère de la justice en France, on constate qu’une quinzaine d’enfants sont victimes de violences sexuelles de la part d’un pédophile après l’avoir rencontré sur internet.
Certaines personnes utilisent les réseaux sociaux pour envoyer des injures ou des menaces, leur envoyer des photos obscènes ou choquantes, inventer des rumeurs, créer un groupe spécifique pour prendre un autre enfant pour cible.
En se consacrant aux pratiques du chat, aux forums, aux blogs, et à la webcam de plus en plus tôt, ils n’ont pas la maturité suffisante pour déceler les dangers. Selon la ligne d’assistance Netecoute, dédiée aux jeunes, il n’y aurait pas moins d’un quart des enfants de 8-12ans qui sachent déjouer les sécurités des réseaux sociaux (par exemple les restrictions d’âge). C'est ainsi qu’aux Etats-Unis une mère de famille a été inculpée après le suicide d’une adolescente avec laquelle elle dialoguait sur MySpace pour s’être fait passer pour un jeune homme de 16 ans.
Le vol d’identité est aussi un danger à différents degrés :
- Le premier degré avec le détournement de photos récupérées pour être modifiées à l’insu du propriétaire
- Le second degré avec le vol pur et simple d’identité, en créant un profil au nom de cette personne.
En 2006 une femme a été condamnée à payer 10000 euros d'amende pour avoir usurpé l’identité de sa collègue de bureau sur le site de rencontre en ligne Meetic .
Le danger le plus fréquent : y passer trop de temps devant. Comme les jeux vidéo, les réseaux sociaux peuvent être chronophages. En effet, les réseaux sociaux peuvent nuire à une bonne scolarité car selon une étude, 52% des enfants de 13 à 17 ans avouent aller sur Facebook pendant qu’ils font leurs devoirs. D’après une étude dans notre classe de 1re ES1 sur 35 élèves, 24 élèves étaient inscrits sur un réseau social vers leurs douzième anniversaire. Et seulement 3 élèves n’avaient pas de réseau social ou n’y allaient jamais. Ils y consacrent 1 heure par jour en semaine et 2 a 3 heures en week-end.
L’aptitude de concentration diminue, la cyberdépendance appelée aussi cyberaddiction serait un trouble psychologique entrainant un besoin irrésistible et obsessionnel d’utiliser internet avec des effets négatifs et destructeurs sur l'utilisateur.
Une autre menace au sein des ménages est la tentative d'"hackage" de comptes afin d'obtenir des données d'identification. Plusieurs techniques sont mises en oeuvre:
- techniques d’hameçonnages de comptes comparables aux escroqueries visant les services bancaires en ligne
- vols de mots de passe malgré l'utilisation d'un logiciel anti-virus à jour
- téléchargement d'un programme frauduleux lors d'une visite inopinée sur un site malveillant
- intrusion sur les réseaux sociaux
Aujourd’hui, des individus mal-intentionnés ont découvert une nouvelle méthode qui envoie des messages non-sollicités par la victime sur des réseaux sociaux tel que Twitter et publie des commentaires sur des blogs.
Les services de raccourcissement d’URL (appel adresse web) sont très fréquents et permettent a un individu de se dissimuler derrière un nom plus ou moins de confiance.
Le Cyber-voleur peut alors utiliser des données personnelles, bancaires et les revendre sur le marché noir.
- techniques d’hameçonnages de comptes comparables aux escroqueries visant les services bancaires en ligne
- vols de mots de passe malgré l'utilisation d'un logiciel anti-virus à jour
- téléchargement d'un programme frauduleux lors d'une visite inopinée sur un site malveillant
- intrusion sur les réseaux sociaux
Aujourd’hui, des individus mal-intentionnés ont découvert une nouvelle méthode qui envoie des messages non-sollicités par la victime sur des réseaux sociaux tel que Twitter et publie des commentaires sur des blogs.
Les services de raccourcissement d’URL (appel adresse web) sont très fréquents et permettent a un individu de se dissimuler derrière un nom plus ou moins de confiance.
Le Cyber-voleur peut alors utiliser des données personnelles, bancaires et les revendre sur le marché noir.
Les réseaux
sociaux constituent un risque pour le recrutement. En effet, lors d’une recherche
d’emploi, il est nécessaire d’envoyer un CV ainsi qu’une lettre de motivation
et tout autre document nécessaire a l’embauche. Le DRH peut alors rechercher le nom du postulant sur des moteurs de recherche.
Sachant que dans les réseaux sociaux, la vie personnelle peut-être publique, le DRH peut avoir accès a l'intimité du candidat et se faire une mauvaise opinion.. Il pourrait trouver des informations compromettantes si l’individu n’a pas fait suffisamment attention, par exemple : des photos et vidéos lors d’une soirée bien arrosée, en train de faire des bêtises voire des activités illégales ce qui ne jouera pas en la faveur d’un demandeur d'emploi.
D'après un sondage,
Sachant que dans les réseaux sociaux, la vie personnelle peut-être publique, le DRH peut avoir accès a l'intimité du candidat et se faire une mauvaise opinion.. Il pourrait trouver des informations compromettantes si l’individu n’a pas fait suffisamment attention, par exemple : des photos et vidéos lors d’une soirée bien arrosée, en train de faire des bêtises voire des activités illégales ce qui ne jouera pas en la faveur d’un demandeur d'emploi.
D'après un sondage,
- 48% soulèvent comme risque
l’accès à leur vie privée par des inconnus;
- 41% ont peur de la conservation
de leurs données personnelles sans limite de temps;
- 35% sont effrayés par la perte
de leur vie privée en général;
- 34% ont peur que leurs
données personnelles soient utilisées à des
fins commerciales;
- 33% soulèvent le risque de
l’accès à la vie privée par l’entourage professionnel;
- 16% enfin, sont effrayés par
l’accès à la vie privée par des membres de leur famille ou de leur cercle
d’amis.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire